Photos & compositions :
DOURVAC'H
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Partir ou une enfance tsigane
(détails - huile/toile en cours)
inspiré d'une photographie prêtée par Loetitia Pillault et d'une robe andalouse
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Eclats d'âme ou Le miroir (de Dourvac'h)
(détails - huile/toile en cours)
oeuvre sans modèle connu
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... au puits de l'âme...
... pour la hisser à la lumière...
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Eclats d'âme ou Le miroir
de Dourvac'h
(huile/toile en cours, 2012)
Petit détail d'une (é-)toile naissante...
Vouloir prendre sous son aile...
Faire ressurgir d'entre les morts...
Nos imaginaires...
Mondes intérieurs...
Forêts de Belles...
au Bois Dormant...
... qui ressuscitent...
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(... par la grâce de Notre invitée blessée... )
Chouette effraie
(... qui - si fermement - me tenait la main gauche de ses serres...)
& les oeuvres peintes de :
(1) & (2) : Dourvac'h : Peintre au miroir de l'âme (2012, détails)
(3) & (4) : Barbara Delaplace : Sarah brodeuse (2010, détails)
(5) & (6) : Loëtitia Pillault : Vous me teniez la main... (2008, détails)
(7) : Artemisia Gentileschi : Autoportrait en Allégorie de la peinture (v. 1636-1645, reproduction)
" Belles, vous voilà...
... surgies du fond des siècles... "
" La fête est donc finie ? ... "
" Méé non !!! Viens, on va continuer ailleurs... "
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John Singer Sargent
(de haut en bas :)
Mrs. Fiske Warren and her daughter Rachel (ensemble et détail)
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Grand merci à mon Amie Barbara - à gauche en blanc ?
... toi qui révères l'oeuvre crépusculaire aux clairs-obscurs somptueux de John Singer Sargent !
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Orazio Gentileschi
Sainte Cécile et l'ange
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Artemisia Gentileschi
Sainte-Cécile, patronne des musiciens
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Artemisia Gentileschi
Judith décapitant Holopherne
(Oeuvre stupéfiante, jusqu'au rendu des caillots de sang sur le drap...)
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Grand merci à mon Amie Christiana - à gauche en rouge ?
... toi qui me fis découvrir les oeuvres (exceptionnelles) d'Artemisia Gentileschi et de son père Orazio !
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(Samuel Belet, au crépuscule d'une existence ; vit sa vie de pêcheur sur la rive du grand Lac ; se saisit une nouvelle fois de ses rames - espérant retrouver le reflet de "ses morts" au fond de l'eau... Là où la langue-geste de Ramuz fait à nouveau merveille... )
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(...) Je m'assieds sur le banc du milieu, j'empoigne les rames ; je tire dessus de tout mon poids, me renversant ; et eux alors, là-bas, n'est-ce pas ? Ils m'attendent et je me dis bien qu'ils me voient venir.
La terre m'a quitté, avec tout ce qui est petit ; je laisse derrière moi ce qui change pour ce qui ne change pas. Que je me tourne seulement un peu et la rive disparaît tout entière ; il ne reste plus que le ciel et l'eau. Encore est-ce la même chose à cause de l'image des nuages renversée qui se balance autour de moi, et ce bleu, aussi renversé, par quoi elle a une couleur.
Il n'y a plus de différence en rien ; tout se confond, tout se mêle ; est-ce au-dedans de moi ou au-dessous que je regarde ? Mais ils sont là et je les vois. Je ne suis plus jaloux ; eux, ils n'ont plus peur. Au lieu de reculer, ils se soulèvent sur le coude ; moi, je me penche encore un peu. (...)
C.F. RAMUZ, Vie de Samuel Belet
(IIIème partie, chapitre III)
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R.I.P.
"Regards Féériques"
6 novembre 2006 - 21 juin 2012
( ... et ses 490 messages... )
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Mais que nos adieux ne soient surtout pas tristes ! Pourquoi le seraient-ils ?
Le site restera là : ouvert, consultable et "pillable"... à condition de bien citer vos sources !
(soit les légendes des photos & oeuvres présentées... )
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De bonnes lectures à Vous des romans de Ramuz, Buzzati & Dhôtel !!!
Quant à Grand Large, je vous tiendrai au courant (par courriel) dès qu'il y aura du neuf... !
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Bises & Amitié à Vous... et infinie gratitude !!!
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Photographies : Dourvac'h
Viviès (Ariège), 21 juin 2012
Le Vent
... reste à tout jamais l'un de mes films préférés...
Il fut réalisé entre studio et désert mojave par Victor Sjöstrom en 1928...
... avec Lilian Gish & Lars Hanson...
Me souvenant que l'arrivée du cinéma muet dans une bourgade d'Helvétie
formera en 1925 l'un des plus beaux motifs de roman pour Ramuz :
L'amour du monde (1925)
(Un portrait de Lilian Gish, exceptionnelle actrice du muet)
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... et - pour celles & ceusses qui l'ignoreraient encore -
j'idolâtre les cinq premiers (& picturaux) "romans-poèmes"
que forgea - entre 1903 et 1914 -
C. F. Ramuz :
Aline / Les circonstances de la vie /
Jean-Luc persécuté / Aimé pache, peintre vaudois /
Vie de Samuel Belet
... dont voici les cinq "incipit" (Si beaux débuts... ) :
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Aline (1905)
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Les circonstances de la vie (1907)
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Jean-Luc persécuté (1908)
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Aimé Pache, peintre vaudois (1910)
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Vie de Samuel Belet (1913)
... selon moi, "le plus beau livre qui existe"...
(et dont personne - jusqu'à présent - ne semble avoir entendu parler !)
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Bref, boycottons toutes ces "daubes" qui sortent sans cesse chez nous
(trashy/vulgosses/"tendance"/sitôt consommées-sitôt digérées/niaiseuses/etc.)
et découvrons (enfin) TOUT Ramuz...
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AVISSE IMPORTANT : comme il n'y aura pas de nouvel article avant 2 semaines,
vous disposez donc du TEMPS (indispensable)
pour lire - en vrai - l'intégralité de ce message
(C'est qu' j'en suis à préférer du "zéro commentaire" quand je lis du "flatte-flatte viteuf"
qu'on s' laisse les uns aux autres pour donner l' change et surtout pas s' casser la tête...
Merci donc à l'avance de point faire semblant... Hein ? Grrr... Merci !)
comme de visiter le merveilleux site de théâtre de papier lumineux
de l'artiste ontarienne
Tous nos VRAIS articles (pas forcément de plage) Vous attendent ci-dessous...
Regarder la mer empêche de mourir.
Je l’ai ressenti la première fois ce printemps dernier. J’ai regardé l’heure à ma montre : des puits de lumière dansaient à la crête des vagues. J’ai dû fermer les yeux un moment…
A qui confier pareils secrets ?
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L’air de ce matin m’enchante – aussi les cris stridents des sternes, leur doux manège de marée montante… Tant de points scintillants dans ce tableau, tant de lumière blanche !
Un bruit sec, frais : elles ont plongé dans l’écume et les voici, têtes ruisselantes – issues des flots et se hissant jusqu’au ciel… Vous vient l’envie de parcourir avec elles cette langue de sable infinie… traverser ces parois de cristal… fuir dans l’absence de limites…
Ne sommes-nous pas venus du fond des océans, un jour ?
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Môminette chantonne près de moi, s’en donne à cœur-joie… sa petite chanson bien en tête…
Ne s'occupe pas du reste...
Accoudée à sa petite table de camping gondolée – petit bras blanc recourbé sorti d’une manche de robe fleurie : Clara dessine.
Un beau motif pour moi, son père et peintre en devenir…
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– … de venir de coâ ?
– C’est toi qui a parlé, Clara ?
– Pas moi ! C’est mon dessin qui parle…
Il nous faut regarder le dessin bavardant...
Une gosse aux petites nattes blondes, un triangle de robe jaune, ses mains-marguerite…
(...)
( ... à suivre ... )
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... et bientôt en édition papier, selon vos demandes (*)
d'ici à quelques semaines... (**)
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(Copyright)
Dourvac'h
(*) Merci déjà pour leur marque de confiance concrète
à Annick, Barbara, Christiana, Dourvac'h, Jerry Ox, Loetitia, Luce, Marie-Madeleine, Sarah & Shanti !!!
(**) Tout le récit - anecdotique - des (vaines, prévisiblement vaines) tentatives de l'auteur
pour obtenir une lecture éditoriale authentique de son oeuvre
forme un long commentaire-réponse ("Un long Avisse...") sous l'article précédent !
Ah, se mettre en devoir de fabriquer soi-même...
... trente exemplaires d'un petit livre totalement impubliable (*)...
... avec espoir qu'ils trouvent en Vous parents adoptifs...
C'est dire comme j'aurai besoin de Vous !!
C'est pour bientôt... (**)
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Dourvac'h
L'Atlantique vu de "La Isla de la Gomera" (Canarias), février 2012
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(*) du moins en cet endogamic Mafias/Copinages/Renvois d'ascenseurs/Pipôls/Goût de ch...ttes-Land !
Tristes réalités excluantes d'un (solide) dispositif éditorial de paralittérature malfoutue nationale :
monstre qu'il vaut mieux regarder en face, ne vivant que de notre naïveté et notre soumission !
(**) ... avec extraits et résumé de Grand Large, qui vous seront présentés ici même...
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Et, pour patienter, faites un TRES beau voyage dans le (fabuleux) Monde poétique d'
... pour fêter dignement...
... une éclosion...
... d'espoirs...
... de voir renaître une République ...
... à suivre ...
(Gardant nos yeux bien ouverts... de préférence !)
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photographies :
Dourvac'h
Viviès (Ariège), mai 2012
modèle : Mister Johnny Cash
(alias M.J.C., env. 8 mois, et qui restera bien "entier"... )
Fidèlité à la mémoire
de son glorieux prédécesseur auteur-compositeur-interprête né en Arkansas !
